28 février 2013
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Assiégés et assiégeants. (2)
Au début de l'année 1244, quelques renforts sont arrivés à Montségur.
Des lotois (de Capdenac) avec Bertrand de la Baccalaria qui a entrepris de construire une catapulte plus grande, plus importante et capable de "répondre" à celle de l'armée des croisés.
Il installe donc cette arme censée être plus puissante et lancer des boulets géants...
Des lotois (de Capdenac) avec Bertrand de la Baccalaria qui a entrepris de construire une catapulte plus grande, plus importante et capable de "répondre" à celle de l'armée des croisés.
Il installe donc cette arme censée être plus puissante et lancer des boulets géants...
Y-a-t-il eu une erreur de montage ?
Etaient-ils incapables de s'en servir ?
Toujours est-il que le premier tir de ces boulets a ravagé l'intérieur du château, faisant au passage un bon nombre de victimes. (On ne sourit pas !)
Pour cette première partie de ce siège et la prise de la barbacane-Est, on a les écrits d'Alzieu de Massabrac, il raconte cet exploit bien négatif, racontant le tir, les dégâts et les blessés.
Le bon côté des choses c'est que grâce à ce chroniqueur on a appris que Montségur avait deux postes avancés défensifs.
En février, un assaut contre la barbacane est repoussé en faisant un grand nombre de victimes, mais c'était reculer pour mieux sauter puisqu'elle a été prise à la mi-février.
Le château était alors directement sous les tirs des pierrières ennemies, la situation devient critique pour les habitants qui sentent que la fin approche.
Des combats violents et sanglants se déroulent, l'armée des croisés cherche à détruire les machines de guerre avant toute chose.
La situation est devenue rapidement intenable...
Tiraillés par la faim et glacés par le froid de l'hiver, désespérant de voir arriver des secours... la reddition va être négociée.
Le 2 mars, Pierre de Roger de Mirepoix demande une trêve de deux semaines pour pouvoir négocier cette phase finale.
Le château était alors directement sous les tirs des pierrières ennemies, la situation devient critique pour les habitants qui sentent que la fin approche.
Des combats violents et sanglants se déroulent, l'armée des croisés cherche à détruire les machines de guerre avant toute chose.
La situation est devenue rapidement intenable...
Tiraillés par la faim et glacés par le froid de l'hiver, désespérant de voir arriver des secours... la reddition va être négociée.
Le 2 mars, Pierre de Roger de Mirepoix demande une trêve de deux semaines pour pouvoir négocier cette phase finale.