8 février 2012
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00:15
Prendre conscience !
Prendre conscience du monde extérieur et de soi-même.
Perception étrange, plus ou moins "claire" selon les situations.
La conscience! on peut tous avoir bonne ou mauvaise conscience, on peut perdre conscience.... on peut avoir quelque chose sur la conscience....
On peut en trouver d'autres...
La conscience en latin c'est "conscientia" = "connaissance"
La connaissance que l'on a de notre existence, de nos sensations ou de nos pensées, cette connaissance peut être plus ou moins bien perçue selon le degré de facultés intellectuelles auxquelles l'esprit peut accéder.
L'activité de la conscience génère une mise à distance de soi par rapport à soi et vis à vis du monde.
Prendre conscience du monde extérieur et de soi-même.
Perception étrange, plus ou moins "claire" selon les situations.
La conscience! on peut tous avoir bonne ou mauvaise conscience, on peut perdre conscience.... on peut avoir quelque chose sur la conscience....
On peut en trouver d'autres...
La conscience en latin c'est "conscientia" = "connaissance"
La connaissance que l'on a de notre existence, de nos sensations ou de nos pensées, cette connaissance peut être plus ou moins bien perçue selon le degré de facultés intellectuelles auxquelles l'esprit peut accéder.
L'activité de la conscience génère une mise à distance de soi par rapport à soi et vis à vis du monde.
Quand quelqu'un prend conscience d'un plaisir (exemple) il est assez lucide pour se "penser" comme un "sujet affecté" d'une émotion agréable.
Avoir conscience d'une pensée implique pour nous qu'on s'en sépare en tant qu'objet intellectuel par lequel nous devenons un sujet "pensant informé".
C'est là le caractère fondamental de la conscience, c'est ce que Husserl appelle "l'intentionnalité", la conscience est toujours conscience de quelque chose.
Cette visée intentionnelle de l'action de la conscience ne se laisse pas enfermer dans un "en soi" clos, elle est toujours un "pour soi" qui diffère de son contenu en oprérant un retour-réflexe.
Une conscience qui ne pourrait pas se détacher de son "objet" serait tout simplement incapable d'en avoir l'aperception.
La conscience désigne également le principe qui nous fait distinguer le bien du mal, on l'appelle alors, la conscience morale en tant qu'instance indiquant à l'humain son devoir, il est soumis par sa propre volonté.
Avec Freud se pose le problème des limites internes de la conscience, elles remettent en question la conception classique d'une vie psychique intégralement transparente à elle-même.
Longtemps éduquée "en vase clos", je n'avais aucune idée de ce qui m"attendait dans le "monde extérieur".
Je n'imaginais même pas qu'il puisse y avoir autre chose que "mon monde"!
Pourtant, aucun choc brutal, aucun problème...
J'avais été bien "préparée" à l'affronter ce "monde extérieur", mais je sentais bien qu'il fallait que je m'en protège plus que n'importe quelle autre enfant !